Peu mais souvent
De nombreux petits repas sont tout à fait indiqués, que le chat prendra surtout durant les heures nocturnes, plutôt qu’en un seul repas famélique, typique de situations de stress (même dans la nature) et entraînant l’obésité et autres dysfonctionnements. Il faut habituer le chat dès son plus jeune âge à prendre ses repas de manière autonome.
2. Des rations équilibrées
Réglez la quantité sur la base du poids de votre chat : pour chaque kilo de son poids, il a besoin de prendre 40 à 50 grammes de ration. L’idéal est de préparer celle-ci à la maison, avec 50 % de viande animale légèrement bouillie (bœuf, cheval, volaille, poisson, etc), 20 % de céréales très cuites, 20 % de légumes verts cuits et le restant en compléments de vitamines et d’huile.
3. Attention aux changements soudains
Habituez petit à petit votre chat à la nouveauté et ne cherchez pas à expérimenter de nouveaux plats ou des goûts insolites.
4. L’eau est importante
Le chat n’est pas un grand buveur : il absorbe la plus grande partie des liquides avec la nourriture et sans avoir besoin de boire. Pour cette raison, optez pour une alimentation qui prévoit au moins un repas humide par jour. Les soupes préparées avec du bouillon de viande ou de légumes et enrichies avec des céréales, de la viande ou du fromage peuvent très bien faire l’affaire.
5. Pas de « restes »
Le chat n’est pas un être humain et ne doit pas être alimenté comme nous, ou pire, avec nos restes. Cette habitude est de plus source d’un stress important chez l’animal, qui se répercute aussi dans ses rapports avec son maître et la vie de la famille, provoquant des conflits et des disputes inutiles au moment des repas. Rappelez-vous que certaines libéralités dictées par l’affection sont dangereuses pour la santé du chat (par exemple lui donner des gâteaux et autres « gâteries »).
6. Vérifiez la température de la pâtée
Les aliments ne doivent pas sortir du réfrigérateur lorsqu’ils sont présentés au chat, ni être trop chauds. L’idéal est une température moyenne semblable à la température corporelle. Une fois le repas servi, à part lorsqu’il s’agit de croquettes sèches, il ne doit pas être laissé plus de trois ou quatre heures à disposition du chat.
7. Non aux sucreries
L’élimination des sucreries et du sucre de l’alimentation du chat doit être une règle absolue. Le chocolat, en plus de le nourrir trop, peut entraîner un empoisonnement à la théobromine. Cependant, vous pouvez tout à fait lui offrir une friandise pour chat de temps en temps.